
Richard-Max Tremblay était aujourd’hui à Sherbrooke.
Non, ce n’était pas du tout un secret. Il y avait un nombre impressionnant d’amoureux d’art qui l’attendaient. Il y présentait une partie de sa vie en mots, en peinture, en photos. Tout en même temps. Nuances, vu et imperceptible, visages, histoires, inutile, indispensable, ombres et lumières, présence et absence.
Créer, réinventer les mots, les images, l’histoire, l’humain, la vie, ces expositions nous invitent à rêver…
Moi, j’ai commencé à rêver il y a longtemps…
Et, quand j’ai su que cet événement aura lieu, je n’avais que des questions…quels portraits va-t-il choisir? Quels seront les critères? Est-il facile de faire des choix parmi des centaines de rencontres qui ont chacune un monde à raconter? Mais que peut-on savoir?!
Ces expositions nous invitent
…à imaginer, à un autre regard sur soi, sur l’autre, sur l’histoire, sur le présent, sur le demain.
Encore, j’ai découvert que, au Musée des beaux-arts de Sherbrooke et à l’Université de Sherbrooke, ses peintures et ses portraits, réalisés sur une période de plus de trente ans, sont exposés dans des espaces qui sont beauté architecturale et élégance.
J’ai aussi appris que le campus principal de l’Université de Sherbrooke est reconnu pour son engagement en faveur du développement durable.
J’ai fait une recherche et découvert un nombre important de distinctions et certifications qui me font encore rêver. J’adore rêver.

Quand vous décidez d’aller voir les expos, attention, le stationnement sur le campus est payant par carte de crédit ou monnaie.
: avoir de la monnaie pourrait être une excellente idée, car les machines ne savent pas toujours lire.
La suite, dans les prochains épisodes. ![]()
Ah! La Galerie d’art Antoine-Sirois est par ici:
et le Musée :
Je vous souhaite la curiosité et de belles découvertes! ![]()








